
A chaque pas, une odeur,
Pour chaque regard une couleur,
Les beignets crépitent dans l’huile qui bouillonne.
Sur chaque rive de ce fleuve agité,
On cuit, on crie,
On pousse, on se pousse,
Les fruits aux formes plantureuses
Entourent épices, étoffes, poissons frits.
La chaleur est là.
Elle pèse,
Lourde et humide.
Sous les regards englués.
La rue est avalée,
La foule bigarrée l’a digérée
La rue s’est envolée,
Kuala Lumpur étouffée,
Sans un souffle nous a emportés.
Avril 2019
Bonjour Eric un beau poème aux parfums d’ailleurs une douce odeur envolée dans une lourde chaleur, chaude promenades Merci de ce doux voyage poétique
Douce après midi bises amitiés
Béa
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Je m’impose dans beaucoup de mes écrits notamment poétiques cette contrainte d’être le plus juste dans la traduction écrite des émotions, des sensations. Ce n’est pas toujours simple, il faut que les sensations infusent et puis un jour elles sortent. Il y aura d’autres textes sur la Malaisie
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