
Dans ma mémoire de papier,
Feuille blanche pleure,
Larmes de mots gris.
J’entends la tempête à l’intérieur,
Le vent coule dans mes veines.
Dans mon ordre intérieur,
Pas une ligne droite, pas un battement de cil,
Dans le désordre de mon cœur
Des sourires aux courbes bleues
Des mains qui se posent,
Les doigts qui s’effleurent,
Dans la bouillie de mes rêves
Tout est joie qui se pose.
Année 2016
A reblogué ceci sur Les pérégrinations de Liondors.
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A reblogué ceci sur Les mots d'Ericet a ajouté:
Un texte déjà un peu ancien que je republie…
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