
Doucement le soir s’est posé.
Sans un bruit, sans un gris,
Sur le sable si chaud,
Épuisé,
Il s’est allongé.
Les souffles sont courts,
Dans le regard, une lueur.
Reste d’un soleil rageur.
On ferme les yeux,
Douce caresse,
D’une brise,
Qui cherche une rime,
Avec un vent qu’on rêve frais.
Belle et tiède,
La nuit s’est invitée.
D’une voix claire et reposée
A la mer apaisée,
Ses doux mots il a libérés
A reblogué ceci sur Les mots d'Eric.
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