
Quand la tempête de l’intérieur se lève,
Le vent mauvais arrache toutes les digues.
Une à une, elles cèdent.
Les flots s’engouffrent
Pas une fleur ne résiste,
Les vagues déferlent dans les champs .
Les collines se plissent,
Peu à peu, dans l’ombre elles se glissent
Pas un chant d’oiseau pour interrompre le fracas d’en haut
C’est la tempête, elle passe, elle ravage
Pas de temps pour les larmes,
Le bleu du ciel s’est effacé,
Dans les cœurs serrés, les couleurs du blues se sont envolées.
Mars 2017
j’aime ce poème qui exprime de façon si juste ce que je peux ressentir quand la tempête se lève
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Merci beaucoup cela me touche
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