
Ici, un bout de ce monde habité,
Terre déchiquetée,
Vagues emmêlées,
Hommes de l’intérieur
Retournez vous !
A l’ouest de vos mémoires encombrées,
Il y a le vent.
Vent qui souffle sur vos nuques.
Vent qui s’engouffre
Derrière vos yeux étonnés.
Avancez encore un peu,
Tendez votre oreille
Entendez son chant,
Il vous murmure
Toutes ces histoires oubliées
30 octobre
Magnifique encore une fois dans l’évocation de l’océan, de l’homme et de sa mémoire. Entrez Baudelaire et Ferré 🙂
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Merci ça me touche beaucoup
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Un très bel écrit
Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
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Et bien merci à vous aussi
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A reblogué ceci sur Les mots d'Ericet a ajouté:
Pour terminer mon hommage à Ouessant, troisième republication de la journée…
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