
Quand le monde est si bruyant,
Qu’il couvre même le vent,
Quand les regards sont de travers,
Que les yeux se noient dans le triste amer,
N’entre pas dans l’arène !
N’aiguise pas tes lames numériques !
Fais comme tes pères,
Rêve d’Amérique !
Il faut que tu marches jusqu’au bout.
Là-bas, si loin,
Tu verras :
L’île se blottit
Entre les bras bleus de l’océan.
Là-bas, en bord de pluie
Tu verras :
Le doux demain clair
Il t’attend et sourit.
Si tu ne peux pas partir,
Reste tête haute,
Marche jusqu’aux souvenirs.
Prends le chemin le plus malin.
Cours, vole, rêve, espère,
Souris de cet air qui te fouette !
Mais ne laisse pas gagner
La fanfare des maudits.
Laisse-les agiter, vociférer.
Demain tu verras,
Ils seront oubliés.
Superbe ! En quelques mots, j’étais happé.
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Merci à vous
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Ce qui me donne courage, je vous remercie..
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A reblogué ceci sur Les mots d'Ericet a ajouté:
Là-bas , c’était il y a un an…
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