
Marcel avait décidé un jour de ne plus utiliser le conditionnel. Il n’aimait pas, il n’aimait plus ce temps. Il n’aimait pas cette idée d’exprimer l’envie d’une action tout en la soumettant à une condition.
Et quand ses amis du lycée s’exprimaient, Marcel trouvait qu’ils utilisaient trop le conditionnel. Il leur disait qu’utiliser le conditionnel c’est assortir une envie, un besoin, un rêve même d’une menace sur son existence, c’est le condamner à errer plus ou moins longtemps sur le chemin du flou, de l’incertain du peut-être…
Bravo éric les poètes sont les derniers gardiens du temps
les derniers bergers d un monde qui glisse doucement
les derniers remparts contre l effondrement
merci encore
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Merci pour votre blog;
Un petit rayon de soleil ce matin en le découvrant,
C’est si rare en ces moments de froideur,
Continuez donc pour nous,
Nous reviendrons…
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