
J’arrache un à un des pétales de rire à la fleur grise de mes angoisses
Les vents mauvais s’écrasent sur les digues de mémoires effacées
J’ouvre grand les bras aux passeurs de sourire
Les regards coupants s’épuisent sur les angles ronds des murmures disparus
J’entends la caresse d’un refrain aux douces rimes retrouvées
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