
Au bout il y aura la mer
Cette lente espérance
Qui s’étire sans rien dire
Jusqu’à cet autre bout
Où tu attends le souffle frais de mon regard
O mer on te pardonne le bleu emprunté
Dans le presque soir qui apaise
Dans le lointain reflet de tes yeux
J’attrape une vague lueur
Qui chante déjà
Le doux refrain
De nos mains
Qui s’inventent un beau matin…
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