
Dans le décharnement solitaire
De l’arbre contraint à la nudité automnale
Il y a toute la violence d’une lente agonie
Comme un cri de douleur retenue
Comme un cri de couleur disparue
La sève figée entre les maigres bras
D’une brume fragile
Attend des demains
Paisibles et fleuris
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