
Dans cette vieille gare
Aux lourds murs
Jaunis des restes de nos mémoires
Même le silence grinçait en s’étirant
Sur les long quais traversés
D’un air frais et fatigué
Des ombres d’hommes courbés
Se figeaient dans le matin tremblant
Dans cette vieille gare
Aux lourds murs
Jaunis des restes de nos mémoires
Même le silence grinçait en s’étirant
Sur les long quais traversés
D’un air frais et fatigué
Des ombres d’hommes courbés
Se figeaient dans le matin tremblant