
Sillage noir
Au recueil du couchant sonore
A chaque étage de nue
La nuit retrouve, oublie son nom
Il n’est de similitude
Il n’est que solitude
Partant qu’hurlement et loup
L’amour qui s’était assoupi
Comme la mer sous une vague
Garde un visage de momie
Et parle une langue de sable
Le bâton de rosier, 1926