
ENTR’APERCUE
Je sème de mes mains
Je plante avec mes reins ;
Muette est la pluie fine.
Dans un sentier étroit
J’écris ma confidence.
N’est pas minuit qui veut.
L’écho est mon voisin,
La brume est ma suivante.
Chant de la Balandrane : la flûte et le billot
Mon Éverest itou … merci …
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Magnifique ! Merci Éric pour ce poème bienvenu en ce jour de rentrée. Que les mots de René Char sont beaux et sonnent doux à mon oreille.
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