
Créer aujourd’hui, c’est créer dangereusement. Toute publication est un acte et cet acte expose aux passions d’un siècle qui ne pardonne rien. La question n’est donc pas de savoir si cela est ou n’est pas dommageable à l’art. La question, pour tout ceux qui ne peuvent vivre sans l’art et ce qu’il signifie, est seulement de savoir comment, parmi les polices de tant d’idéologies ( que d’églises, quelle solitude ! ) l’étrange liberté de la création reste possible.
