
Dans le trop-plein du jour affaissé
Comme un débordement de lumières
Que la nuit étonnée ne retient pas
La lune entrée sans frapper
Aux portes fermées de l’obscur
A été sommée de briller sans compter
Dans le trop-plein du jour affaissé
Comme un débordement de lumières
Que la nuit étonnée ne retient pas
La lune entrée sans frapper
Aux portes fermées de l’obscur
A été sommée de briller sans compter
Bonjour Éric,
Encore un coup de cœur pour l’un de tes poèmes ! Merci pour ces partages poétiques !
Puis je me permettre d’utiliser celui-ci et d’autres pour mon atelier poésie au travail ?
Merci d’avance pour ta réponse, quelle qu’elle soit et belle suite d’été !
Sophie, du CP de Bourg.
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Aucun problème ca me fait plaisir
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