L’inspiration ne vient, alors je relie de mes vieux textes et trouve que quelques -uns d’entre eux sont en phase avec l’humeur du moment, la mienne et celle du monde qui m’entoure

La liste de tes dégoûts
Dépassaient l’infini de ta soif
T’ajoutes de la pluie
A tes yeux secs
Ton soleil brillait
Le soir à intervalles réguliers
Entre deux cris de présence
Tu filtrais les paroles
En enfilant des vers
Sur des fils sans bouts…
Septembre 1980