
…Et on t’a dit que les morts étaient tranquilles
Et toi t’as vu qu’ils pleuraient
Et toi t’as dit
Il n’y a plus rien à rater
Tous les murs sont debout
On t’a dit de ne plus regarder
Que les silhouettes de similitude
Et toi tu as scié des arbres de vérité
On t’a dit de ne plus regarder les autres
Et toi tu l’as rencontré
Il avait le ciel au niveau du front
Des yeux lui servaient de nuages
Pour barrer la route à la lumière
Atomique
Qui dispersait la poussière
De son reste d’apparence
Ses mains lui pendaient aux bras
Comme deux points d’interrogation
Il avait enveloppé sa tristesse dans un drap de dégoût
Et les autres lui vomissaient de la mauvaise haine
Qui les avaient attachés dans l’antiquité de leurs regards
Paroissiaux
Il était habillé de l’indifférence similitude
Qui le faisait ressembler
A ceux qui passent leur…
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