
Plus de 80 pages écrites, pour l’instant pas de difficulté, les mots bouillonnent, les phrases coulent, et je tiens la barre. Le personnage principal, Anton, se dessine de plus en plus, à travers le chapitre consacré à son père et celui, en cours, à sa mère, on comprend, on le comprend. La transmission est là, un héritage des émotions. Comprendre d’où l’on vient, l’alchimie de la rencontre, du peut-être hasard, et pages après pages, l’écriture pose une trace, de ces belles traces qui sentent bon la vie.