Mémoires…

Il est enfin venu

Le matin des mille éclats

J’attends le premier train pour le rire

Au mur gris l’espiègle horloge rattrape en sifflant

Une dernière heure qui s’enfuie

Le trajet est lisse et long

Comme l’étoffe qu’on déplie

Pas un arrêt pour lennui

On roule je vibre

On file je rêve

Frissons

Sur la vitre molle d’un vieux souvenir

Mes mots roulent en rimant

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.