
« C’est si souvent le soir dans ses yeux
Que j’en perds mon matin… »
C’est deux vers je les écrivais il y a plus de quarante ans avec toute la tendre maladresse de l’apprenti poète qui cherche les bonnes formules pour que le mélange des mots puisse se déguster longtemps après. C’est le cas aujourd’hui. Je déguste et je me souviens.