
Derrière la vitre d’un matin ferroviaire
Une douce brume traîne son ennui
Sur les dernières rides
Du long drap gris
De notre fin de nuit au réveil froissé
Derrière la vitre d’un matin ferroviaire
Une douce brume traîne son ennui
Sur les dernières rides
Du long drap gris
De notre fin de nuit au réveil froissé