
Souviens-toi passager,
Souviens-toi,
C’est un mardi,
Un petit mardi
Aux bords affaissés.
Tout va si vite,
Tant de terres traversées
Tant de terres séparées…
Souviens-toi,
Derrière la vitre,
C’est un homme qui pleure,
Personne ne le voit.
Chacun est à son clic,
Les larmes ne s’affichent pas.
L’homme regarde le monde,
Les autres ne le voient pas,
Rides sur le front,
Ils habitent le monde numérique.
L’homme pleure le monde perdu,
Son monde frissonne et boite bas.
Bonjour monsieur,
Cette poésie est vraiment très bien. Elle dégage comme une sensation de mystère insoluble.
J’ai moi-même ouvert mon propre onglet de poésies sur mon blog : mayaecritunlivre.wordpress.com
Bonne journée !
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