Je reviens avec mes poèmes de jeunesse : en voici un nouveau que je viens de redécouvrir et que je publie en deux parties…

Gueule de vagabond
Esprit moribond
Ton oeil se perd dans ta mémoire
Comme ta larme
A l’horizon de ton regard
S’est noyée
Dans un voyage sans retour…
Partie, finie
Totalité sans remords
Pour un fou qui s’en fout
Dans l’histoire de son rêve
Qui s’étouffe en recherchant
Partie, finie
Jouet d’un regard
Qui dit toujours non
Parce qu’il a peur du champ
Où ils ont cultivé son indifférence
Et où il a disparu
Emporté par une affreuse ressemblance
Avec la mort
Des ceux qui le lui ont dit…
Mais pourquoi
Pourquoi ?