Mémoires…

Derrière la vitre des lointains ennuis

La ville grince et plie son haut mur de nuit

Seule à rire dans un presque soir qui rôde

Elle invente des traces d’ocres chaudes

A la fenêtre verte des mémoires abîmées

Je respire une longue bouffée de houle salée

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.