Je pense souvent à mon père…

Je pense souvent à l’absence
Qui reste ce peut-être
Trou de brume où jaillit un bel horizon mauve
Si loin du gouffre noir
De ta lourde disparition
Seules les pierres blanches semées
Sur le long chemin de nos mémoires encombrées
Unissent leurs froides solitudes
Pour combler les fissures où sifflent les vents de l’oubli
30 janvier
💔
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