J’ai commencé depuis lundi le journal poétique de cette terrible période, parce que je sais par expérience que les mémoires sont molles et qu’il est nécessaire de garder une trace…

Homme confiné,
Pousse la porte,
Ecoute…
Comment ?
Tu n’entends rien !
Cherche, cherche,
Homme numérique.
Retrouve les petits cailloux
Que tes pères ont semés,
Sur le chemin
De ta mémoire encombrée.
Retrouve les traces, homme,
Ils sont là,
Je les entends,
Petits bruits oubliés,
De ce monde que tu ne laisses plus chanter.
19 mars
Hello ! J’aime beaucoup !
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Merci beaucoup
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A reblogué ceci sur Les mots d'Ericet a ajouté:
C’était il y a un an, si près, si loin…
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