
Dans ma mémoire de papier, une feuille blanche
Qui pleure, larmes de mots gris
J’entends la tempête à l’intérieur,
Le vent coule dans mes veines.
Dans mon ordre intérieur,
Pas une ligne droite, pas un battement de cil
Dans le désordre de mon cœur
Des sourires aux courbes bleues
Des mains qui se posent,
Les doigts qui s’effleurent,
Dans la bouillie de mes rêves
Tout est joie qui se pose