Un hommage, un de plus, en ce matin mélancolique à mon père qui nous a quittés il y a peu…Il aimait tant la Charente et le pont qui la traversait

Un reste de rouille salée
S’agrippe aux larmes de l’acier
Dans ma poche froissée
Souvenir du fleuve
A la mer accrochée
Oh ta Charente traversée
J’ai pris une feuille de papier
Aux mémoires de ce pont aimé
Tout doucement l’ai frottées
Oiseaux légers mes mots sont envolés
Sur le fil de tes yeux se sont posés