
La jeune fille
Aujourd’hui, je ne peux trouver le repos…
La faute sans doute à cette nuit d’été.
Le parfum des tilleuls éclos
Pénètre par le battant écarté.
Oh, toi mon cœur ! Si maintenant il venait
-Ma mère depuis longtemps est allée se coucher-
Et dans ses bras te prenait…
Toi mon faible cœur…Jusqu’où te laisseras-tu aller ?
Cordes d’argent-1901-