
…Tu te surprends
Pleurant l’attente
Du troubadour jouant le désir
Sans aumône
T’entends déjà le fourmillement d’une foule
Qui arrive par paquets de bottes
Tu te soulignes à grands traits de rencontres
Avec des fossoyeurs d’esprit littéraire
Alors tu crois oublier les bottes
Parce qu’elles sont derrière la porte
De celui qui t’ouvre les yeux
Avant que ne s’entendent les victoires écorchées
Avant que ne meurent les discours du hasard
Sois sur que t’as aimé
Pour que le jour où tu animeras ton absence
Les suicidés de l’ennui
N’oublient pas que tu étais avec eux..